Sarah Tanzilli
Sarah Tanzilli est née en 1985 à Valence dans la Drôme.
Après une formation de droit public, elle commence sa vie professionnelle au Grand Lyon où elle officiera de 2011 à 2017 en tant que juriste sur des dossiers structurants pour le territoire tels que celui de la délégation de service public de production et distribution d’eau potable ou la gouvernance de la plaine de Saint-Exupéry.
À partir de 2017, elle devient collaboratrice de la députée Danièle Cazarian, qui lui fait confiance pour suivre les dossiers majeurs de la circonscription, notamment ceux liés au handicap.
Sarah Tanzilli, est également engagée sur le plan associatif. Elle est une membre active du Comité de Défense de la Cause Arménienne puis préside durant 5 ans la Maison de la Culture Arménienne de Décines. Dans ce cadre, elle a défendu un modèle d’intégration fondé sur la primauté des valeurs de notre République et qui respecte les spécificités de chacun. Elle s’est notamment investie pour lutter contre certains groupuscules racistes et ultranationalistes qui ont œuvré à Décines et dans l’agglomération, qui conduira à la dissolution des Loups Gris, constitutifs d’un groupement de fait.
« Cette circonscription, je l’ai arpentée durant les cinq dernières années en tant que collaboratrice parlementaire. 5 années à l’écoute de mes concitoyens pour trouver des solutions à leur difficulté du quotidien, où j’ai accompagné les acteurs économiques soucieux de leur développement et de leur transformation écologique et les structures associatives en première ligne pour répondre aux besoins des habitants. »
« Cette circonscription, je l’ai au cœur, car c’est là que j’ai décidé de m’y installer depuis 2010 et d’y fonder ma famille. Comme vous, je suis consciente que les transformations en cours ne peuvent pas se faire au détriment de notre qualité de vie mais qu’au contraire elles doivent intervenir au bénéfice des habitantes et habitants de l’Est lyonnais.
C’est aussi ici que je me suis engagée sur le plan associatif et culturel et je sais que la richesse du tissu associatif est une force qu’il faut préserver pour garantir la cohésion du territoire et que la culture est un vecteur de développement et d’épanouissement. Parce que je vis sur cette circonscription, je sais quelles en sont les urgences, les points forts qu’il faut valoriser et les faiblesses qu’il faut corriger.
Si j’ai décidé de m’engager au sein de Renaissance, c’est pour faire vivre, défendre et mettre en œuvre le projet d’Emmanuel Macron, le seul à même de relever les défis auxquels la France fait face et de mettre en œuvre des solutions efficaces et pragmatiques contre la précarité socio-économique, pour garantir nos libertés fondamentales, pour assurer la transformation écologique de notre pays, y rétablir une égalité des chances, protéger chacun d’entre nous et recréer le lien de fraternité entre nous tous, indispensables à la construction de la France de demain. »