C’est avec une immense fierté que j’ai voté en faveur de l’inscription du droit à l’IVG dans la Constitution le 4 mars dernier lors du Congrès de Versailles. Ce texte, que je portais au nom du groupe Renaissance, est un bouclier protecteur contre les mouvements anti-choix si puissants dans le monde et donc aussi en France. Il renforce la diplomatie féministe de notre pays. Enfin, cette adoption, dans une proportion inédite en particulier au Sénat, démontre aussi que les femmes françaises ont le pouvoir de faire avancer leurs droits lorsqu’elles se mobilisent à cet effet.